Chassé de son village, prés de Colmar, après avoir tué dans un accès de colère un de ses voisins lors d'un différent, Otto se retrouve livré à lui-même durant plusieurs années ou il vit de rapine et de brigandage avant de rejoindre une troupe de mercenaires Brabançons.
En leurs compagnie il écume les champs de bataille ou il se forge une redoutable réputation aussi bien chez ses ennemis que chez ses amis, qui le surnomme "le Rustre" à cause de son caractère vindicatif et de sa forte propension à la cruauté gratuite.
Présent dans les rangs français lors du désastre de Crecy, sa compagnie est taillés en pièce par les flèches des archers Gallois. Otto ne doit sa survie qu'a son incroyable combativité et à une volonté farouche " de mortir moult Anglois".
De nouveau seul, errant sur les routes ou il cause bien des tords à la paysannerie local, il décide de se joindre à une nouvelle compagnie, espérant de nouveau pouvoir "ventrailler cette merdaille plantagenese".
